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Irène Polya
Irène Polya, pianiste hongroise, installée en France, donne des concerts comme soliste et mène des activités pédagogiques en animant des cours d'interprétation dans plusieurs pays. Elle est diplômée de l'Académie Franz Liszt de Budapest (ses professeurs : G.Kurtág, I.Antal, L.Hernadi, J.Sebestyén) et également formée par Yvonne Lefébure à Paris. |
La presse en parle
» Avec sentiments Les nuances les plus subtiles du toucher se mêlaient aux délicates variations des sons sur la palette impressionniste ; plein de force et subtilité tout à la fois, le jeu d’Irène Polya nous plongea dans une atmosphère de doux rêve. Mannheimer Morgen - Petra Fischer » Limpide et irréprochable Sa manière à elle de recréer a quelque chose d’intègre et d’authentique qui nous fascine. Ludwigshafener Rundschau - Ingo Wackenhut » Richesse d’un concert d’été de haut niveau Irène et László Polya (violoncelle) interprétèrent souverainement la Sonate en fa majeur de Richard Strauss. Oltner Tagblatt - Peter Escher » Liszt et Bartók par Irène Polya Irène Polya nous a simplement subjugués … La Nouvelle République du Centre Ouest - Dominique Saur » Un jeu de piano merveilleux
Hallands Nyheter - Sven Andersson » Un concert mémorable Un concert mémorable avec Irène Polya (piano), László Polya (violoncelle), David Ambrus (clarinette). Göteborg Posten - Gustaf Olsson » Virtuose au clavier L’interprétation remarquable de la Sonatine de Ravel constitua le sommet de la soirée. Irène Polya réussit à rendre les harmonies expressives et les modulations subtiles dans leur cohérence logique tout en se laissant bercer par les fluctuations sonores de l’œuvre … Stuttgarter Nachrichten » Un jeu de virtuose Irène Polya donna un récital hors pair. Sa grande concentration se reflétait dans son interprétation irréprochable. Comme un feu d’artifice, son jeu était transparent et plein de force. On pouvait entendre, voir et sentir qu’elle ne fait qu’un avec la musique. Solothurner Zeitung » Un récital plein de poésie et de charme Si Irène Polya possède des atouts techniques incomparables, ses interprétations n’en sont pas moins extrêmement musicales, élaborées toujours avec raffinement. Freundenstädter Kreiszeitung » Un feu d’artifice Un feu d’artifice brillant, intégrité et vigueur, richesse de nuances, légèreté de toucher. Solothurner Zeitung » Un excellent concert a ouvert la saison Ce fut un moment extrêmement merveilleux où dans le silence profond de la nuit, notre artiste nous amena à la méditation intense et douloureuse des Nocturnes de Chopin à la magie coloré et ardente du Venezia et Napoli de Liszt. Solothurner Zeitung » Passions hongroises La fine sensibilité d’Irène Polya a joué à plein dans la poétique lisztienne avec Les Cloches de Genève et Venezia e Napoli où le chant populaire »La blondina in Gondoletta» permit de partir «l’air dans la tête». Quel bonheur ! La lettre du Musicien - Pierre Vidal » Printemps hongrois Irène Polya offre un programme substantiel et original avec des œuvres de Boëly, Dussek,se montre très à l’aise dans Ravel et Fauré et termine avec un impressionnant Prélude, Choral et Fugue de Franck dont ressortent le volet central, d’une densité et d’une poésie rares, et la fin en majeur, saisissante irruption de lumière. Le Monde de la Musique - Marc Vignal » Weekend franco-hongrois Il est rare d’entendre le Carnaval de Schumann joué avec une telle précision et de manière aussi captivante. Irène Polya a su opposer, sans exagération, la gaîté à la noblesse et les rythmes lyriques de la valse aux instants dramatiques.Elle a enchanté le public et nous a plongé dans un doux rêve. Ouest-France » Dussek au Centre Tchèque de Paris Irène Polya, pianiste élégante et raffinée, a fait découvrir à un public très attentif un remarquable musicien en avance sur son temps … La Lettre du Musicien » Un jeu en perpétuel mouvement Le jeu d’Irène Polya est en perpétuel mouvement, elle tient son public en haleine. Elle excelle dans la restitution des petites formes, dans la recherche des phrasés mais elle n’oublie jamais l’unité de l’œuvre … Elle domine parfaitement toutes les difficultés techniques, son jeu perlé est exceptionnel … Muzsika, Budapest |
Les disques
Le disque d'Irène Polya est de très grande classe. Chantant dans son arbre généalogique, elle chante juste et son impeccable technique, mise au service d'une très fine sensibilité et d'une intelligence aiguë, fait merveille dans ce récital concentré à des extraits des Trois années de Pèlerinage de Franz Liszt. Un doigté sûr, vivant, cristallin au Lac de Wallenstadt et aux Cloches de Genève un poésie enveloppante, quasi immatérielle, tandis que les 3 sonnets de Petrarque se gorgent d'une vie intense. Dès lors, le tryptique Venezia e Napoli atteint de véritables sommets, avec notamment une éblouissante Tarentelle qui nous transporte avec pluie de notes perlées, ses rythmes opposés, sa profusionde triolets, cadences et arpèges. Les Jeux d'eau à la Villa d'Este sont tout aussi frémissants de vie et de transparence. Avec cette interprète explosive et concentrée à la fois, la vélocité,la virtuosité deviennent habitées. Point d'effets extérieurs mais une intensité rare, de tous les instants: superbe. Les Petites Affiches - Jean Gallois Coup de cœur (Les Années de Pèlerinage de F.Liszt) Epuré, transparente (Au lac de Wallenstadt, Au bord d’une source), la vision n’est ni exaltée ni pathétique, mais respecte dans une recherche sonore assez pictural la magie du timbre et la grandeur du dessin (La Chapelle de Guillaume Tell). Le traitement appliqué au redoutable triptyque Venezia e Napoli s’avère par la qualité du Cantabile et la diversité des registres très convaincants : à aucun moment, Irène Polya ne recherche la virtuosité ou l’effet, mais son jeu donne une impression de musicalité qui rend de la profondeur à l’esprit de ces pages. Piano – Michel Le Naour Irène Polya est une pianiste sensible et captivante. Son intelligence musicale est incontestable et il semble qu’elle peut «rendre compte» de tous les sons. Dans son interprétation «tout est évident», l’auditeur a le sentiment et la conviction que «tout est ainsi», que tout doit sonner «ainsi». Jamais ne se présentent à sa mémoire d’autres interprétations avec lesquelles il pourrait faire une comparaison. Nous écoutons le temps présent, ici et à ce moment précis : c’est ce que la musique de Liszt me dit. Ce que j’entends m’absorbe du premier au dernier son. Parlando, Budapest - Katalin Fittler Sonates de Dussek Le monde de la musique - Michel Le Naour |
Ecouter Irène Polya
Liszt - Années de pèlerinage Darius Milhaud: Scaramouche op. 165b; Irène Polya , Evelyne Stroh |
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A propos de Irène Polya pianiste
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